! Französisch-Korrektur lesen- Könner gesucht; !

Hallo,
ich habe Französisch-LK und wir sollten nun kreativ werden und uns eine Geschichte ausdenken und selbst schreiben üben. Hatte anfangs auch ziemliche Probleme Thema&Inhalt zu entwerfen, hab aber schließlich was gefunden. Bin mir nun aber unsicher wegen Fehlern,etc und möchte das aber gut machen, wird nämlich auch benotet. Es wäre super toll, wenn sich jemand bereit erklärt die Zeit zu nehmen mal drüber zu schauen und zu korrigieren, mir liegt sehr viel daran! Danke schonmal!

Hallo,
ich kann gern mal drüberlesen - ohne Garantie auf Fehlerfreiheit nachher :wink:
Margret

Hallo, habe mich sehr über deine Antwort gefreut, hoffe die Länge schreckt dich nicht ab! Vielen,vielen lieben dank schonmal!
Hier der Text:
La surprise de Noël

Avent, avent, le quatrième cierge est déjà allumé… et chez nous l’air brûle comme chaque année. Entre-temps, j’ai perdu espoir des jours calmes et méditatifs que sont vantés. Bon, on ne s’ennuie jamais à notre maison.
Oh, j’ai oblié me figurer: Je m’appelle Fiona et j’ai 16 ans. Je loge au diable vert avec ma mère, mon petit frère Valentin et ma petite soeur Melanie dans une grande maison à Böckinghausen, je pense que c’est le plus petit village du monde. Nous sommes en vacances depuis deux jours et juste depuis deux jours, j’ai la guigne. Hier matin, tout commença. Je me réjouissais d’avoir le premier jour férié et de pouvoir faire la grasse matinée, mais je m’evaillai rude. Je me trouvai par terre auprès de mon lit et je ressentis une peine sur mon derrière. Et pour comble de misère, nous visitâmes un petit marché de Noël. Il y avait beaucoup des jeux. Ma mere gagna un petit sac à dos, mon frère gagna du chocolat et ma soeur gagna une baguette magique. Et moi? Moi, je ne gagnai naturellement rien. Le soir en plus, j’achoppai sur le cable de mon téléphone. C’était un grave jour!
Aujourd’hui, c’est le veille de Noël. Il fait affreusement froid et en plus, il neige à tout casser. Du moins, ma mère a déjà acheté les présents pour nous cette année (je les ai découvert sous son lit) et je me suis procurée des quelques petits cadeaux aussi. Ma petite soeur a déjà fouillé toute la maison comme une folle, en vain. Alors, elle a decidé de construire un bonhomme de neige qui est debout dans notre jardin maintenant avec une orange carotte, un balai et un ricanement large et effrayant. Pour apporter un peu d’ambiance de Noël, je décide de cuire des biscuits. Je brasse les ingrédients, découpe les petits gateaux avec enthousiasme et les enfourne. Je m’abrège l’attente avec chanter en sorte que ma mère crie « Cesse cet hurlement ! » Tout à coup, je sens une odeur brûlée. Les biscuits ! Je cours au four, le décachette et voit seulement des noirs ronds. D’accord, c’etait nul. En vertu de mon cri, ma mère arrive et me regarde avec un froncement de sourcils. « Qu’est-ce qu’il est passé ?! » elle me demande. « Je déteste le Noël » je lui réplique et vais dans ma chambre. Je me gauchis sur mon lit et fixe la plafond. Je débite un soupir. Mes parents sont séparés et mon père vit avec son amie. Juste à l’époque du Noël, je le regrette. Tout à coup, la voix de mon petit frère m’arrache à mes pensées : « Que fais-tu ? Je m’ennuie à mourir ! Est-ce que tu peut jouer des jeux vidéo avec moi ? ». Je soupire. « Valentin, tu sais que je déteste les jeux vidéo. Casse-toi et demande tes amis. » Il grimace et crie « Tu est bête ! » Puis, il part en courant. Je doit sourire de son réaction parce que ce scénario se repète quasi au jour le jour. Enfin, je me lève pour aider ma mère en me baladant avec Grégor, notre labrador dégourdi. Chaque année il se comporte comme il n’a jamais vu de la neige et il court par la case comme un fou. Je pense que le grand air me depayse et me déride. Après vingt minutes, je retourne parce que j’ai froid, mais je me sens mieux. Mais, tout comme prévu par le destin et comme je suis un malchanceux, je glisse sur la glace juste 500 mètres devant la maison. Petit à petit, j’en ai marre de ce jour, d‘époque de Noël, de tout. Avec le visage plus sombre, j’entre la maison et marche a pas lourds directement de nouveau dans ma chambre (Ma mère n’a pas osé de m’aborder). Mon dernier recours est seulement ma copine Amelie. Elle m’ecoute toujours et elle m’aide avec des problèmes. Je prends le combiné téléphonique, mais quand je veux composer la numéro, le téléphone sonne déjà dans ma main. Je reponds : « Âllo ? ». « Salut mon chérie, joyeux Noël à toi et à toute la famille ! » C’est mon père. Je me réjouis de son appel, parce que ca me dit qu’il pense a moi. « Salut papa, joyeux Noël à toi aussi ! » . Nous radotons encore un peu et finissons par dire au revoir. Bien que je ne sois pas tellement triste, je veut appeler Amélie. Malheureusement, c’est seulement la boite aux lettres électronique qui me repond et ainsi, je dois laisser un « Joyeux Noël » sur repondeur. Je consulte l’heure : Il est déjá cinq heure ! Je decide d’aider ma mère avec le repas : De la salade de pommes de terre fait par ma mère (c’est la salade de pommes de terre la plus délicieuse sans cette mayonnaise dégoûtant), de la baguette et en plus des saucisses de Francfort faites maison par Jürgen qui est le ami de ma mère et qui est boucher de son métier. Tous les mauvaise faits, je me rejouis de reveillonner maintenant. La cheminée degage une chaleur agréable. Je mets la table et heureusement, il ne se brise rien! En commun, nous décorons l’arbre de Noël avec des boules multicolores et après, nous dînons. Avant la remise de cadeaux, Valentin rabâche un poème, Melanie joue de la flûte et moi, je chante un chantique (ma mère nous obligent à exhiber quelque chose chaque Noël). Jürgen sourit et bisse. Alors, nous pouvons finalement commencer à ouvrir les cadeaux. Je me réjouis de la cosmétique et le bon pour faire les magasins, mais le plus, je me réjouis de ce Noël magnifique et harmonique. Je n’aurais compté jamais avec ça !

Hallo,

bis wann bräuchtest du denn die Korrektur? Gruß Katrin

Hallo,

bis wann bräuchtest du denn die Korrektur? Gruß Katrin

Hallo, danke für deine Antwort!
Bräuchte die Korrektur bis Montagabend… ich kann den Text ja mal anhängen, wenn du die Zeit nicht findest, ist das ja kein Problem!
(PS: Hoffe die Länge schreckt dich nicht ab *g)
Danke nochmal!
Der Text:
La surprise de Noël

Avent, avent, le quatrième cierge est déjà allumé… et chez nous l’air brûle comme chaque année. Entre-temps, j’ai perdu espoir des jours calmes et méditatifs que sont vantés. Bon, on ne s’ennuie jamais à notre maison.
Oh, j’ai oblié me figurer: Je m’appelle Fiona et j’ai 16 ans. Je loge au diable vert avec ma mère, mon petit frère Valentin et ma petite soeur Melanie dans une grande maison à Böckinghausen, je pense que c’est le plus petit village du monde. Nous sommes en vacances depuis deux jours et juste depuis deux jours, j’ai la guigne. Hier matin, tout commença. Je me réjouissais d’avoir le premier jour férié et de pouvoir faire la grasse matinée, mais je m’evaillai rude. Je me trouvai par terre auprès de mon lit et je ressentis une peine sur mon derrière. Et pour comble de misère, nous visitâmes un petit marché de Noël. Il y avait beaucoup des jeux. Ma mere gagna un petit sac à dos, mon frère gagna du chocolat et ma soeur gagna une baguette magique. Et moi? Moi, je ne gagnai naturellement rien. Le soir en plus, j’achoppai sur le cable de mon téléphone. C’était un grave jour!
Aujourd’hui, c’est le veille de Noël. Il fait affreusement froid et en plus, il neige à tout casser. Du moins, ma mère a déjà acheté les présents pour nous cette année (je les ai découvert sous son lit) et je me suis procurée des quelques petits cadeaux aussi. Ma petite soeur a déjà fouillé toute la maison comme une folle, en vain. Alors, elle a decidé de construire un bonhomme de neige qui est debout dans notre jardin maintenant avec une orange carotte, un balai et un ricanement large et effrayant. Pour apporter un peu d’ambiance de Noël, je décide de cuire des biscuits. Je brasse les ingrédients, découpe les petits gateaux avec enthousiasme et les enfourne. Je m’abrège l’attente avec chanter en sorte que ma mère crie « Cesse cet hurlement ! » Tout à coup, je sens une odeur brûlée. Les biscuits ! Je cours au four, le décachette et voit seulement des noirs ronds. D’accord, c’etait nul. En vertu de mon cri, ma mère arrive et me regarde avec un froncement de sourcils. « Qu’est-ce qu’il est passé ?! » elle me demande. « Je déteste le Noël » je lui réplique et vais dans ma chambre. Je me gauchis sur mon lit et fixe la plafond. Je débite un soupir. Mes parents sont séparés et mon père vit avec son amie. Juste à l’époque du Noël, je le regrette. Tout à coup, la voix de mon petit frère m’arrache à mes pensées : « Que fais-tu ? Je m’ennuie à mourir ! Est-ce que tu peut jouer des jeux vidéo avec moi ? ». Je soupire. « Valentin, tu sais que je déteste les jeux vidéo. Casse-toi et demande tes amis. » Il grimace et crie « Tu est bête ! » Puis, il part en courant. Je doit sourire de son réaction parce que ce scénario se repète quasi au jour le jour. Enfin, je me lève pour aider ma mère en me baladant avec Grégor, notre labrador dégourdi. Chaque année il se comporte comme il n’a jamais vu de la neige et il court par la case comme un fou. Je pense que le grand air me depayse et me déride. Après vingt minutes, je retourne parce que j’ai froid, mais je me sens mieux. Mais, tout comme prévu par le destin et comme je suis un malchanceux, je glisse sur la glace juste 500 mètres devant la maison. Petit à petit, j’en ai marre de ce jour, d‘époque de Noël, de tout. Avec le visage plus sombre, j’entre la maison et marche a pas lourds directement de nouveau dans ma chambre (Ma mère n’a pas osé de m’aborder). Mon dernier recours est seulement ma copine Amelie. Elle m’ecoute toujours et elle m’aide avec des problèmes. Je prends le combiné téléphonique, mais quand je veux composer la numéro, le téléphone sonne déjà dans ma main. Je reponds : « Âllo ? ». « Salut mon chérie, joyeux Noël à toi et à toute la famille ! » C’est mon père. Je me réjouis de son appel, parce que ca me dit qu’il pense a moi. « Salut papa, joyeux Noël à toi aussi ! » . Nous radotons encore un peu et finissons par dire au revoir. Bien que je ne sois pas tellement triste, je veut appeler Amélie. Malheureusement, c’est seulement la boite aux lettres électronique qui me repond et ainsi, je dois laisser un « Joyeux Noël » sur repondeur. Je consulte l’heure : Il est déjá cinq heure ! Je decide d’aider ma mère avec le repas : De la salade de pommes de terre fait par ma mère (c’est la salade de pommes de terre la plus délicieuse sans cette mayonnaise dégoûtant), de la baguette et en plus des saucisses de Francfort faites maison par Jürgen qui est le ami de ma mère et qui est boucher de son métier. Tous les mauvaise faits, je me rejouis de reveillonner maintenant. La cheminée degage une chaleur agréable. Je mets la table et heureusement, il ne se brise rien! En commun, nous décorons l’arbre de Noël avec des boules multicolores et après, nous dînons. Avant la remise de cadeaux, Valentin rabâche un poème, Melanie joue de la flûte et moi, je chante un chantique (ma mère nous obligent à exhiber quelque chose chaque Noël). Jürgen sourit et bisse. Alors, nous pouvons finalement commencer à ouvrir les cadeaux. Je me réjouis de la cosmétique et le bon pour faire les magasins, mais le plus, je me réjouis de ce Noël magnifique et harmonique. Je n’aurais compté jamais avec ça !

Hallo Vansi,
hier kommt der Text. Ich brauche nur selten Französisch, bin daher nicht perfekt, aber vielleicht hilft’s Dir was. Wenn Du willst kann ich’s Dir auch als doc mit markierten Änderungen schicken. Müsstest mir nur Deine email schicken.

Frohe Weihnachten
Margret

La surprise de Noël

Avent, avent, le quatrième cierge est déjà allumé. Chez nous, l’air brûle comme chaque année. Entre-temps, j’ai perdu espoir des jours calmes et méditatifs que sont vantés. Bon, on ne s’ennuie jamais à notre maison.
Oh, j’ai oublié me figurer: Je m’appelle Fiona et j’ai 16 ans. Je loge au diable vert avec ma mère, mon petit frère Valentin et ma petite soeur Melanie dans une grande maison à Böckinghausen. Je pense que c’est le plus petit village du monde. Nous sommes en vacances depuis deux jours et juste depuis deux jours, j’ai la guigne. Hier matin, tout commença… Je me réjouissais d’avoir le premier jour férié et de pouvoir faire la grasse matinée, mais je m’evaillai rude. Je me trouvai par terre auprès de mon lit et je ressentis une peine sur mon derrière. Et pour comble de misère, nous visitâmes un petit marché de Noël. Il y avait beaucoup de jeux. Ma mere gagna un petit sac à dos, mon frère du chocolat et ma soeur une baguette magique. Et moi? Moi, je ne gagnais naturellement rien. Le soir en plus, j’achoppai sur le cable de mon téléphone. C’était un grave jour!
Aujourd’hui, c’est le veille de Noël. Il fait affreusement froid et en plus, il neige à tout casser. Du moins, ma mère a déjà acheté les présents pour nous cette année (je les ai découverts sous son lit) et je me suis procurée de quelques petits cadeaux aussi. Ma petite soeur a déjà fouillé toute la maison comme une folle, en vain. Alors, elle a decidé de construire un bonhomme de neige qui est debout dans notre jardin maintenant avec une carotte, un balai et un ricanement large et effrayant. Pour apporter un peu d’ambiance de Noël, je décide de cuire des biscuits. Je brasse les ingrédients, découpe des petits gateaux avec enthousiasme et les enfourne. Je m’abrège l’attente en chantant de sorte que ma mère s’écrie « Cesse d’hurler! » Tout à coup, je sens une odeur brûlée. Les biscuits ! Je cours au four, le décachette et voit seulement des ronds noirs. D’accord, c’etait nul. En vertu de mon cri, ma mère arrive et me regarde avec un froncement de sourcils. « Qu’est-ce qu’il s’est passé ?! » elle me demande. « Je déteste le Noël » je lui réplique et vais dans ma chambre. Je me gauchis sur mon lit et fixe le plafond. Je débite un soupir. Mes parents sont séparés et mon père vit avec sa copine. Juste à l’époque du Noël, je le regrette. Tout à coup, la voix de mon petit frère m’arrache à mes pensées : « Que fais-tu ? Je m’ennuie à mourir ! Est-ce que tu peux jouer des jeux vidéo avec moi ? ». Je soupire. « Valentin, tu sais que je déteste les jeux vidéo. Casse-toi et demande tes amis. » Il grimace et crie « Tu es bête ! » Puis, il part en courant. Je doit sourire de son réaction parce que ce scénario se repète quasi au jour le jour. Enfin, je me lève pour aider ma mère en me baladant avec Grégor, notre labrador dégourdi. Chaque année il se comporte comme il n’a jamais vu de la neige et il court par la case comme un fou. Je pense que le grand air me depayse et me déride. Après vingt minutes, je retourne parce que j’ai froid, mais je me sens mieux. Mais, tout comme prévu par le destin et comme je suis une malchanceuse, je glisse sur la glace juste 500 mètres devant la maison. Petit à petit, j’en ai marre de ce jour, de l‘époque de Noël, de tout. Avec le visage plus sombre, j’entre la maison et marche a pas lourds directement dans ma chambre (ma mère n’a pas osé de m’aborder). Mon dernier recours est ma copine Amelie. Elle m’écoute toujours et elle m’aide avec des problèmes. Je prends le combiné téléphonique, mais quand je veux composer le numéro, le téléphone sonne dans ma main. Je réponds : « Âllo ? ». « Salut mon chérie, joyeux Noël à toi et à toute la famille ! » C’est mon père. Je me réjouis de son appel, parce que cela me dit qu’il pense a moi. « Salut papa, joyeux Noël à toi aussi ! » . Nous radotons encore un peu et finissons par dire au revoir. Bien que je ne sois pas tellement triste, je veux appeler Amélie. Malheureusement, c’est seulement la boite aux lettres électronique qui me répond et ainsi, je dois y laisser un « Joyeux Noël ». Je consulte l’heure : Il est déjá cinq heures ! Je décide d’aider ma mère avec le repas : De la salade de pommes de terre préparée par ma mère (c’est la salade de pommes de terre la plus délicieuse sans cette mayonnaise dégoûtante), de la baguette et en plus des saucisses de Francfort faites maison par Jürgen qui est le copain de ma mère et qui est boucher de métier. Malgré tous ces mauvais faits, je me rejouis de reveillonner maintenant. La cheminée dégage une chaleur agréable. Je mets la table et heureusement, il ne se brise rien! En commun, nous décorons l’arbre de Noël avec des boules multicolores et après, nous dînons. Avant la remise de cadeaux, Valentin rabâche un poème, Melanie joue la flûte et moi, je chante un chantique (ma mère nous oblige à exhiber quelque chose chaque Noël). Jürgen sourit et bisse. Alors, nous pouvons finalement commencer à ouvrir les cadeaux. Je me réjouis de la cosmétique et le bon pour faire les magasins, mais le plus, je me réjouis de ce Noël magnifique et harmonique. Je n’aurais compté jamais avec ça !

Hallo meggi,
vielen vielen Dank für deine Hilfe! Wirklich sehr nett, wie schnell du dir die Zeit genommen hast!
Würde mich über den Text als Dokument mit markierten Fehlern sehr freuen!
Meine EMail: [email protected]
Frohe Weihnachtstage!